Pour Stefaan, le matelas gonflable Ether Light Xt Insulated de Sea to Summit est un « modèle très pratique, facile à manipuler pour tout le monde, qui se gonfle et se range en un clin d’œil. Et il est très confortable : pour les adeptes du backpacking, c’est l’idéal. » C’est d’autant plus vrai lorsqu’il est utilisé avec le sac de couchage Treeline de Sea to Summit. « Un excellent rapport qualité/prix », selon Jonathan. « Un sac de couchage d’entrée de gamme de qualité. »
Nous parcourons en moyenne 15 km par jour dans les montagnes sur le Jordan Trail. Ce n’est pas un hasard si nous arrivons tous les soirs exténués dans un campement de Bédouins. Heureusement, Sea to Summit nous a fourni tout le matériel nécessaire pour bien dormir : des matelas de couchage aux oreillers de camping en passant par les draps de sac et sacs de couchage. Une fois arrivés au premier campement, les participants à l’Explore Camp découvrent le matelas gonflable Ether Light Xt Insulated. Et surtout la méthode pour le gonfler : un système de sac à attacher au matelas. C’est une sorte de soufflet. Vous soufflez dans le sac et poussez ainsi l’air dans le matelas gonflable. Il suffit ensuite de ranger le sac.
« Le matelas se gonfle très facilement », ajoute Stefaan. « Il ne suffit pas de souffler une seule fois comme le dit le mode d’emploi, mais sept ou huit expirations permettent de gonfler totalement le matelas. Et quand il y a un peu de vent, il ne faut même presque pas souffler : l’air s’infiltre directement dans le matelas », précise-t-il. Le rangement est ensuite tout aussi aisé. « Il suffit de le plier en trois, de l’enrouler et de chasser l’air : c’est beaucoup plus facile qu’avec un matelas autogonflant », affirme Stefaan.
Le sol du premier campement est plus préoccupant. On dirait un livre en braille tellement il est recouvert de pierres de toutes tailles. Il y en a trop pour dégager totalement notre emplacement avant de planter la tente. « Vous êtes sûrs de vouloir dormir sur ces structures gonflables ? », s’inquiète Kees, notre guide. « Nous avons aussi des matelas en mousse. » Mais pour que le test soit réussi, il faut aller jusqu’au bout. Les neuf participants poussent donc neuf matelas gonflables dans les tentes. « J’espère que vous ne serez pas au sol après cinq minutes », dit Kees.
Mais le lendemain matin, tous les matelas gonflables semblent avoir survécu à la nuit. « Nous n’avons pas dormi sur un tapis d’herbe moelleux », explique Stefaan. « Mais nous n’avons pas senti les pierres sous le matelas gonflable. Absolument rien ! S’il avait été plus fin, cela aurait été une autre histoire. » Jonathan confirme : « Le matelas s’aplatit très bien. Si vous dormez sur le côté, vous ne serez pas directement sur le sol. Vous dormez comme sur le matelas de votre lit. Alors que sur un matelas en mousse aussi fin, vous devriez chercher longtemps avant de trouver la bonne position et risqueriez de rapidement toucher le sol avec votre os iliaque ou épaule. »
Tout au long de l’année, nous encourageons nos clients à prendre un maximum de bols d’air et à explorer les plus beaux endroits, près de chez eux ou dans de lointaines contrées. Lors de l’Explore Camp, nous joignons le geste à la parole. Notre joyeuse bande composée d’ambASsadeurs, d’experts produits, d’un photographe, d’un journaliste et d’un gestionnaire de projets a parcouru le Jordan Trail. Au programme : six jours de marche, de camping et de retour aux sources au cœur des plus beaux paysages jordaniens. L’objectif était d’apprendre à connaître la région et de tester divers produits. Yalla !
Nous n’avons heureusement pas besoin d’un kit de réparation, même s’il est d’office fourni. C’est super selon Jonathan. « Il existe tellement d’outils de réparation ! En magasin, je constate que beaucoup de clients ont du mal à s’y retrouver. C’est une bonne chose que le fabricant précise clairement ce dont vous avez besoin. Plus d’hésitation ! »
Le matelas gonflable de Sea to Summit réussit brillamment le test de confort ! Notamment parce que Stefaan et Jonathan peuvent décider de la fermeté de leur lit temporaire. « La valve permet de très bien doser », explique Jonathan. « Le matelas est donc très confortable. Seul bémol : le matériau fait beaucoup de bruit lorsque vous bougez. Je ne suis pas vraiment fan, même si bon nombre de ces plus grands matelas sont réputés pour cela. » Un atout pour Jonathan : vous pouvez attacher un oreiller de Sea to Summit au matelas gonflable. « J’étais surpris de voir à quel point il tenait bien, car je bouge beaucoup la nuit. Tout le monde n’aime pas dormir sur un oreiller qui reste toujours au même endroit, mais c’est une chouette option. »
Stefaan se dit aussi enthousiaste à propos de la forme rectangulaire de l’Ether Light Xt qu’il qualifie de « très agréable ». « Même si le matelas est dès lors encombrant. Cela peut constituer un problème pour dormir à trois sous une tente technique de trois personnes. Il s’agit donc plutôt d’un matelas confortable pour les campeurs qui disposent déjà d’une tente confortable. Il n’empêche que ce modèle convient parfaitement pour partir en randonnée avec un sac à dos : il n’est que 80 grammes plus léger que le modèle plus étroit. » La valeur R de 3,2, le degré d’isolation – « un peu faible pour un matelas isolé », selon Jonathan – permet d’utiliser le matelas gonflable pendant trois saisons.
La valeur R correspond au pouvoir isolant d’un matelas. R est l’abréviation de resistance (ou résistance thermique). Cette valeur détermine la résistance au froid de votre matelas.
Plus la valeur R est élevée, plus votre matelas est isolant.
+ système de gonflage pratique
+ grand confort
+ kit de réparation fourni
- modèle assez bruyant
Comme le matelas gonflable (690 grammes), le sac de couchage Treeline de Sea to Summit est extrêmement léger. Il pèse un peu moins d’un kilo (970 grammes). « Le poids vous permet de l’emporter en randonnée », explique Jonathan. « Le matériau est en duvet : ce sac de couchage est donc plus léger qu’un modèle synthétique. » Les fabricants expriment habituellement le pouvoir gonflant du duvet en « cuin », cubic inch per ounce. En d’autres termes, le volume d’une once – ou 28 grammes – de duvet. Plus cette valeur est élevée, plus le duvet peut retenir l’air. Et plus il isole. « Le cuin de ce sac de couchage est de 600 », poursuit Jonathan. « Il est très solide, beaucoup plus qu’un sac de couchage moyen. »
La première nuit, nous avons dormi à 300 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les nuits suivantes, nous sommes montés beaucoup plus haut, bien au-delà des 1 000 mètres. Les températures ont donc chuté en conséquence. Pourtant, Stefaan et Jonathan n’ont jamais eu froid. « Même pas quand j’ai utilisé le sac de couchage en guise de couverture lors de la deuxième nuit glaciale », précise Stefaan. Grâce à une température de confort de 2 °C, ce sac de couchage peut être utilisé pendant trois saisons. « La capuche réglable est très utile par temps froid », poursuit-il. « Vous pouvez la serrer au maximum pour être bien emmitouflé(e). »
Le dernier jour, la pluie a encore fait baisser un peu plus la température ressentie. Jonathan joint le geste à la parole et resserre l’élastique de la capuche autour de son visage. « Elle est bien ajustée, mais n’est pas dotée d’un col thermique. S’il fait encore plus froid, vous devriez envisager de dormir avec un buff et un maillot de corps pour que le peu d’air qui circule n’entre pas en contact avec votre peau nue. Vous ne risquerez rien ! » En outre, Jonathan apprécie la pochette fournie avec le sac de couchage. « Elle est solide et permet de bien réduire le volume du Treeline. Malheureusement, elle n’est pas livrée avec un sac de compression, ce qui aurait été parfait. Peu de sacs de couchage peuvent rivaliser avec le Treeline en termes de rapport qualité/prix. »
+ légèreté
+ haut pouvoir isolant, température de confort de 2 °C
+ capuche réglable et bien ajustée
+ rapport qualité/prix exceptionnel
- absence de sac de compression
Lorsque l’aventure devient un mode de vie, Sea to Summit est le compagnon de route rêvé. En effet, la marque vous fait une promesse : les matelas, sacs de couchage, draps, oreillers, tentes et drybags ne vous feront jamais faux bond – ni au niveau de la mer ni au sommet d’une montagne ! Et vous pouvez le prendre littéralement : l’entreprise a un jour fourni l’équipement nécessaire pour une expédition extraordinaire qui a commencé par un plongeon dans l’océan Indien et s’est achevée au sommet du mont Everest ! Sea to Summit? Check!
Le camping n’est pas forcément synonyme de nuits trop courtes, d’agitations, ni de cernes au petit-déjeuner. Si vous aimez bien dormir même sous tente, vous pourriez plus mal tomber qu’avec les articles Sea to Summit. Les matelas et sacs de couchage allient confort, chaleur et légèreté. Après quatre jours sur le Jordan Trail, nous pouvons affirmer avec certitude qu’ils tiennent leurs promesses : si nos aventuriers ont dormi comme des bébés (dans le désert), ce n’était sûrement pas uniquement à cause de la fatigue.